Journée Pére-Fils

Le fils de Lortlas l'attendait la assit sur les barriéres du pont a regardait le paysage lorsque Lortlas arriva avec la moto il fit d'abord un passage pour prouver son arriver puis il prit de la distance et fit plus loin un dérapage pour se trouver face au pont levis.

Il accéléra en tenant les freins se qui déplaca un grand nuage de poussiére derriére lui puis il lacha les freins et parti plein gaz vers le pont, a quelque métre du pont il leva la roue arriére levant la moto en l'air il lui fit faire un tour complet en l'air, quand il attérissa il se trouvait a coté de son fils, il lui tendit la main, attendant une réponse il lui sourit pour le rassurer.

Il replia ces ailes se qui lui donna une carrure encore plus large, sa veste avait calmée sa course derriére lui et s'était posée vulgairement sur ces flans, ces pistolets étaient apparent ils étincellaient au soleil matinale. tandis que le manche de son épée lui dépassait d'un des étuits. Lortlas se tenait dos droit sur le long siége de la moto. L'ambiance que sa posture et se qui l'entourait dégager était digne d'un Hunter, d'un Roi. Toute ces armes, la grosse cylindré aurait pu étre effreyantes mais avec Lortlas elles étaient certes mystérieuses mais rassurantes

Michaël observait son père, admiratif, enfin il rencontrait cet homme grand et digne que sa mère lui avait dépeint pendant ses cinq années de coma... La femme de caractère que cette dernière était ne pouvait que finir par mourir d'amour devant un tel homme : Michaël le comprit à ce moment précis. Quelque part, les triplettes et lui avaient toujours déploré la présence d'un père et Michaël à présent ne pouvait être que fier du retour de celui qu'il avait tant cherché. Il savait tout de ce que sa mère lui avait donné mais ignorait tout du cas de son père.

Il prit donc cette main que l'on lui tendait et prit place sur la moto mais ce n'était pas ce qu'il voulait... Alors, il descendit et demanda à Lortlas :
- Papa, montre-moi comment on vole. S'il te plaît... Maman ne veut pas m'expliquer, elle dit que les ailes dans son dos ne lui servent à rien et qu'elle préfère marcher...
Car c'était cela qui l'avait d'instant fasciné la première fois dans la contemplation de son père alors qu'il était toujours plongé dans ce profond coma : ces grandes ailes blanches si semblabes aux siennes. Celles de sa mère n'étaient pas encore parue à cette époque et, quand elles furent écloses, il comprit alors que c'était bien de son père qu'il avait hérité sur ce plan là... En effet, les plumes des ailes de Dina étaient elles aussi d'une blancheur immacculée mais leurs extrémités demeuraient d'un rouge sanglant, à l'instar de celles de Lortlas et de Michaël qui, elles, demeuraient d'un blanc pur éternel...

Lortlas écouta ce que son fils avait à lui dire mais lorsque qu'il s'appraiter à lui répondre quelque chose l'attira dans le chateaux.

Il fit monter son fils derriére lui sur la moto, puis il mit en route le moteur et grimpa a plein gaz, a la verticale sur le mur du chateaux portant la fenétre qui donnait sur le couloir des chambres, pendant la montée ces ailes vriller au vent.